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Pastel, Jardin du Luxembourg par Mathurin Janssaud | Galerie Saint Martin Antiquités Paris
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Pastel, Jardin du Luxembourg par Mathurin Janssaud

Pastel, Jardin du Luxembourg par Mathurin Janssaud

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Mathurin Janssaud (1847-1950)

Né à Manosque dans le Sud de la France, Mathurin Janssaud délaisse sa région natale pour Paris à l’annonce de la première guerre mondiale.
Puis c’est vers la Bretagne qu’il se tourne.
La Bretagne est une source inépuisable d’inspiration pour les peintres, mais le public commence à se lasser de certaines vues.

Informations complémentaires

Mathurin Janssaud , comme Maurice Cahours, Emile Simon ou Legout-Gérard , va poser son chevalet à Concarneau ou son port avec la Ville close et les activités des pêcheurs de la digue au bassin Pénéroff constituent un formidable répertoire de sujets nouveaux.

Si l’artiste passe beaucoup de temps en Bretagne, il possède aussi un atelier à Paris et ses ballades dans la capitale sont pour lui l’occasion de nous offrir de jolies vus, car Mathurin Janssaud rejoint au début du XXe siècle la Société des peintres du Paris moderne. L’artiste, qui résidait non loin du Quartier latin, y expose des œuvres représentant la Sorbonne, Notre-Dame

Connu pour ses remarquables pastels, c’est ce médium qu’il dépeint cette fin de journée du jardin du Luxembourg.

Le vide du premier plan comblé par les arbres aux troncs fins et les quelques chaises disposées aléatoirement nous invite à plonger au cœur de cette scène.
Les élégantes, les jeunes hommes et les enfants qui tous nous tourner le dos, donne au spectateur l’impression d’assister à une scène privilégier de la vie parisienne.De plus, les jeux de contrastes sur cette toile participent de l’atmosphère très apaisée et spontanée qui se dégage.

Les tonalités grisâtres et chaudes s’opposent aux couleurs plus acides et vives des crinolines turquoise, fuchsia et rose.

En mai 1912, un critique repère d’ailleurs à l’exposition des peintres du Paris moderne une œuvre de Janssaud intitulée L’Automne au Luxembourg, ce tableau est surement le nôtre